Manger Bouger 11 est un dispositif d’appui aux professionnels de la prise en charge du surpoids et de l’obésité infantile en se focalisant sur la diététique et recettes saines.
Il organise le parcours de prise en charge des enfants de 0 à 12 ans en excès de poids ou à risque de le devenir et améliore ainsi l’accès et l’offre de soins.
Pour les enfants et leurs parents :
Il permet de :
Accompagner les enfants et leurs familles dans le parcours de santé
Améliorer la corpulence des enfants dépistés en excès de poids ou à risque de le devenir
Pour les professionnels :
Il vise à :
Le dispositif Manger Bouger 11 est porté par une association du même nom, « l’association Manger Bouger 11 » qui a été créée en 2013.
Bien manger, c’est adopter une alimentation variée et équilibrée, c’est-à-dire manger de tout, mais en quantité adaptée. Il se compose de :
privilégiez les aliments bénéfiques pour notre santé, tels que les fruits, les légumes, de préférence l’amidon entier, les légumineuses, le poisson… ;
limitez la consommation de produits sucrés (confiseries, boissons sucrées…), salé (apéritif, pommes de terre frites…) et les graisses (saucisses, beurre, crème…).
Planifiez vos repas tout au long de la semaine et composez des menus variés
Il est plus facile de varier l’alimentation en planifiant les repas à l’avance, et il est également plus facile d’acheter et de préparer des repas pendant la semaine. Pour mettre fin à l’effondrement de l’inspiration, découvrez le menu Usine! Profitez de nos différentes idées de menus de saison pour manger de manière équilibrée tout au long de la semaine, selon les recommandations du Programme national de Nutrition et de santé.
Préparer des menus variés est un excellent moyen d’établir de bonnes habitudes alimentaires. Les portions de chaque plat sont différentes selon l’âge, l’activité physique et l’appétit. Un repas suffit en quantité, s’il ne laisse pas de sensation de faim.
Nourrir son bébé, c’est bien sûr le manger, mais aussi faire attention à ses réactions, s’adapter, communiquer avec lui, l’accompagner vers l’indépendance… Les repas sont des moments forts dans la relation entre parents et enfants. L’étape de la diversification est le passage d’une alimentation composée exclusivement de lait à une alimentation variée. Il commence entre 4 et 6 mois et se poursuit progressivement jusqu’à l’âge de 3 ans. Votre bébé élargira en douceur sa palette de goûts, de saveurs et de textures.
Un enfant peut commencer à découvrir toutes les familles d’aliments dans les 4 à 6 mois, y compris ceux qui peuvent provoquer des allergies (œufs, arachides, amandes ou noisettes)…). Il en va de même pour le gluten. En fait, on sait aujourd’hui que plus les enfants essaient ces aliments tôt, plus ils développent leur tolérance à ces aliments.
Cependant, vous pouvez demander conseil à votre médecin traitant ou à votre IMP s’il y a des allergies dans la famille.
Commencez quand vous le souhaitez: pas avant le début du cinquième mois ou un peu plus tard, surtout si votre enfant est trop tôt. Si tel est votre cas, consultez un médecin. Mais rappelez-vous que le lait seul ne suffit plus à répondre à vos besoins après 6 mois.
L’allaitement est effectué à la demande, et lorsque le bébé est nourri au biberon, il “administre” les quantités qu’il absorbe, et il ne faut pas insister pour qu’il soit à court de biberon.
Votre enfant peut avoir le goût de la découverte, mais peut aussi ne pas montrer d’enthousiasme pour le changement. Chaque enfant a son propre rythme, auquel il doit adhérer. La transition des textures liquides aux textures de plus en plus solides est une leçon que chaque enfant exécute à son rythme. Mâchez un aliment inconnu, des morceaux, prenez une cuillère… autant de situations qui entraînent des réactions de la part de votre enfant. Pour bien répondre à vos besoins, il est préférable de l’observer. Vous semblez surpris? Intéressé? Satisfait? Votre rôle en tant que parent est de l’accompagner et de le laisser en faire l’expérience.
Si votre enfant est surpris par l’odeur, la couleur, le goût ou la texture d’un aliment, vous devez le calmer en lui parlant de cet aliment. Une petite grimace ne devrait pas vous empêcher d’essayer à nouveau. Ne le forcez pas, mais offrez - lui quelques jours plus tard ce qu’il a refusé-il se familiarisera progressivement avec la nouveauté, la goûtera… et il l’appréciera probablement à la fin. Souvent, il doit être répété plusieurs fois (parfois jusqu’à 10). Moins vous volez, plus il est probable que votre enfant aimera goûter de la nourriture quelque temps plus tard. Cependant, assurez-vous de distinguer le refus d’un nouvel aliment avec un réel dégoût: comme vous, votre enfant n’aime pas certains produits. Tu ne devrais jamais le forcer à manger.
Dès la naissance, un enfant prend naturellement les quantités de lait dont son corps a besoin, et cela continue si vous lui offrez d’autres aliments.
Au début de la diversification, entre 4 et 6 mois, essayez-en une, puis quelques cuillères à café-puis augmentez progressivement l’appétit et les capacités digestives. Il est possible qu’au moment où vous commencez à manger seul, votre enfant mange moins. N’oubliez pas non plus que votre appétit peut varier d’un jour à l’autre.
Empêchez-le de manger des repas à l’extérieur" pour compenser " - s’il ne mange qu’à l’heure des repas et des collations, il lui sera plus facile de ressentir votre appétit et d’avoir faim lorsque vous irez au repas.
Si vous mangez “trop” pendant un repas, vous mangerez spontanément moins au repas suivant (c’est une compétence que nous “désapprenons” en grandissant). Faites-lui confiance, et quand il n’a plus faim, ne le forcez pas à finir son assiette.
Quant au rythme des repas, il est de 4 par jour à partir de 6-8 mois: petit-déjeuner, déjeuner, goûter et dîner. Par conséquent, structurer la nutrition du bébé pendant la journée lui permettra d’acquérir de bonnes habitudes le plus rapidement possible.
Quelques signes de faim du bébé: il pleure, secoue les bras et les jambes, ouvre la bouche à l’approche du biberon ou de la cuillère.
Quelques signes de satiété: il s’endort au sein ou au biberon ou ralentit l’alimentation ou la prise de nourriture, tourne la tête en sortant la cuillère, détourne le regard, veut quitter la chaise pour jouer.
À l’adolescence, l’activité physique devrait être une pratique quotidienne, mais c’est souvent une période où la pratique diminue, en particulier chez les filles. Par conséquent, L’implication de la famille dans l’activité physique des adolescents est un élément important.
Il est recommandé aux adolescents âgés de 12 à 17 ans de pratiquer des activités physiques dynamiques au moins 1 heure par jour. Les activités exercées comprennent des activités qui renforcent les muscles, les os et améliorent la flexibilité (saut à la corde, jeux de balle, gymnastique, danse…) devrait être pratiqué tous les deux jours.
L’activité physique pour les adolescents apporte des avantages pour la santé, à la fois aujourd’hui et à l’âge adulte. Ils permettent notamment :
pour promouvoir la santé osseuse. L’activité physique à l’adolescence, principalement à l’adolescence, joue un rôle fondamental dans l’augmentation du capital osseux et sa préservation à l’âge adulte. Les activités dans lesquelles vous pesez votre poids corporel (sauter, courir) sont particulièrement favorables.
Au contraire, le mode de vie sédentaire a des effets négatifs sur la santé, qui se répercutent jusqu’à l’âge adulte.
Limitez le temps que vous passez assis et le temps que vous passez devant un écran
Regarder la télévision, travailler à un bureau, s’asseoir ou s’allonger devant un ordinateur, une tablette, un Smartphone, jouer à des jeux vidéo, Lire, être passager dans un véhicule… Il y a beaucoup de Moments de Teenagerrepräsentatives Vie pour les Adolescents. Il est tout à fait possible de les limiter, et en particulier le temps D’écran pendant le temps libre.
Il est recommandé :
qui ne sont pas assis ou couchés plus de 2 heures d’affilée (à l’exception du temps de sommeil et des repas),
si vous courez quelques minutes après 2 heures d’affilée en position assise ou couchée,
qui limitent votre temps libre devant un écran à 2 heures par jour.
Bouger plus, mais aussi dormir.
Une activité physique régulière est un excellent moyen d’améliorer la qualité et la quantité de sommeil. Ce dernier devrait être à l’adolescence de 8h30 à 9h30 par nuit. Il est également recommandé d’éviter le manque répété de sommeil. De même, l’utilisation d’écrans doit être arrêtée au moins 1 heure avant le coucher pour faciliter le sommeil.
La pratique d’un sport aide à maintenir sa forme. C’est aussi un moyen de rencontrer de nouvelles personnes et de décompresser. Chaque sport a ses propres qualités: développer le sens tactique, apprendre à se concentrer, découvrir l’esprit d’équipe, prendre des décisions, gagner de l’endurance… Ce qui est important, C’est Qu’ils aiment le pratiquer. C’est à chacun de déterminer ses propres attentes, de choisir le Sport qui lui convient le mieux :
Pour L’Esprit D’Équipe: Rugby, Football, Basket-Ball, Handball, Hockey
Pour tous ceux qui aiment exceller: Athlétisme, Cyclisme, gymnastique, natation, escalade, etc.
Affrontez individuellement un adversaire: Kendo, escrime, karaté, Udo
Moderne moderne-classique combine mouvement et musique: danse, contemporain, moderne-moderne-classique
Pour renforcer les muscles, équilibrer, respirer et se détendre: oga
Vous pouvez choisir un magasin qui ne nécessite pas d’inscription auprès d’un club ou D’un club. Par exemple, aller à la piscine, utiliser des patins à roulettes, faire du Skateboard, faire du vélo avec des amis, porter des chaussures de course, organiser un match de football, de Rugby ou de badminton.
Il existe de nombreuses autres façons pour un adolescent de bouger et de rester en forme tous les jours sans y penser. En fait, L’activité physique est aussi un ensemble de petites choses qui, ensemble, aident à atteindre un niveau d’activité physique satisfaisant. Voici quelques Exemples :
À la maison: il trie sa chambre de haut en bas, etc. et si vous vivez dans un appartement, il peut aussi prendre les escaliers plus souvent que L’ascenseur.
Aller au collège/ lycée: si vous prenez les transports en commun, votre adolescent peut également quitter un ou deux arrêts avant sa destination finale pour aller chercher un ami et terminer le voyage à pied ensemble. Si vous l’accompagnez en voiture, vous pouvez le laisser un peu plus loin et terminer le voyage à pied.